Sofiène est un jeune prof de judo, pas très net, hypra sex, et qui abuse souvent et facilement de son job, de ses clientes, voir mêmes parfois, dit-on de ses clients. De quoi lui assurer une bonne clientèle vu comme le mec est canon…
Après quelques emmerdes et histoires un peu sordides au sein de son boulot (on a parlé de clientes violées dans les vestiaires, sans qu’il n’y ait jamais eu non plus vraiment de preuves ou de plaintes), ce combattant à qui rien ne fait peur, sur de ses muscles, de son art, et de ses capacités à maîtriser n’importe, qui se considère un peu, de son propre aveu comme le roi de la jungle.
Son aura mystérieuse, sa réputation de violeur sordide (dont on pourrait imaginer qu’elle est créée volontairement de toutes pièces par lui-même) lui assure un succès jamais démenti. Sofiène se tape qui il veut, et quasiment tout Saint Etienne s’est fait enculer par le jeune queutard, femmes et hommes confondus.
Evidemment Sofiène n’est pas gay, et ce n’est certainement pas parce que le jour de la gay pride il choppe dans une cave deux jeunes gays qui s’éclipsaient discrètement de la manif pour aller se spermer l’un l’autre en douce que Sofiène pourrait-être gay.
Non Sofiène se voit plutôt comme… Le lion dans la jungle, et ajoute : « un trou c’est un trou ».